Le 29 mai dernier, à Valentigney, Gaëtan Gouget accompagné de son musicien et complice Sam Mourot a donné la première de son nouveau spectacle "Dorvon Tsag" dans le cadre du "29 ça conte" et de la semaine de la Mongolie. Contes traditionnels des peuples mongols, au rythme des quatre saisons, de la vièle mongole à tête de cheval et des chants diphoniques.

En fin de spectacle, pas facile de lire les sésames...

Prévoir pour 1 litre d’eau, une belle poignée de fleurs d’hibiscus séchées.

Mettre l’eau à bouillir puis y tremper à ébullition les feuilles et laisser à feu doux pendant cinq à dix minutes.

Sucrer ou non avec de la cassonade ;  les fleurs d’hibiscus séchées sont très riches en vitamines C mais le goût est très acide si on le consomme pur.

Ajouter 2 gouttes d’huile essentielle de pamplemousse et 1 bouchon d’arôme d’orange et/ou de banane.

Pour boire frais le jus de bissap, il vaut mieux le préparer la veille et laisser infuser toute la nuit. Ainsi, au matin, le jus est bien rouge !

On peut y ajouter de la limonade, des glaçons pour une boisson rafraîchissante ou du rhum pour un apéritif.

Bonne dégustation.

 Préparation : 20mn,                                                                                                 Cuisson : 2x15mn

Ingrédients : 7 œufs, 250gr sucre semoule, 200gr beurre, 200gr amandes, 200gr raisins secs, 50gr de graines de sésame, 2 sachets de levure chimique, 1 sachet de sucre vanillé, 1kg farine (environ), 1 filet d’eau de fleurs d’oranger, huile d’arachide.

-   Ecrasez assez grossièrement, les amandes dans un mortier (pour conserver des morceaux).

-   Versez le sucre et 7 œufs dans une terrine. Fouettez jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajoutez le beurre ramolli, 1 filet d’huile, les amandes concassées, les raisins secs, les graines de sésame, le sucre vanillé et l’eau de fleurs d’oranger.

-   Fouettez légèrement, transférez dans un grand plat. Incorporez ensuite la levure et la farine tamisée. Pétrissez à la main jusqu’à obtention d’une pâte épaisse, ferme et homogène. Séparez-là en plusieurs pâtons.

-   Roulez chaque pâton en un long boudin d’environ 20cm de long sur 5cm de large. Badigeonnez-les avec un jaune d’œuf battu. Déposez-les sur une plaque huilée et faites dorer 15 à 20mn au four th 180°.

-   Laissez refroidir les fakkas obtenus (toute la nuit).

-   Posez-les sur une planche à découper, tranchez en biseaux, en rondelles d’environ 0.5/1cm d’épaisseur. Agir délicatement, c’est assez friable.

-   Refaites cuire au four 15mn jusqu’à ce que les tranches soient dorées. Pour qu’ils n’éclatent pas de trop, placer la lèchefrite, à l’envers au-dessus des pâtons.

La Lueur des contes y était !

 Avec

 Jocelyne                           Simone                             Cathy

et le public, venu nombreux.

Pour la huitième année, le Conseil Général du Doubs organisait une journée festive rassemblant de nombreux artistes de différentes disciplines du spectacle vivant.

Les conteurs amateurs de la Lueur des contes ont donné deux représentations

dans le cadre magnifique et grandiose des salines royales d'Arc et Senans.

Il faisait beau et très chaud.

 Et toujours la magie des contes ! Dans le très beau jardin des méduses, le crapaud est sorti du fond de l'eau pour saluer la sorcière Crapautot qui s'envole à dos de crapaud !

Suite à la demande de stagiaires, cette rubrique est ouverte pour vous faciliter la recherche d'un hébergement dans le pays de Montbéliard.

Cette rubrique est alimentée  par les stagiaires qui ont expérimenté différentes formules.

Il ne s'agit pas de recommandations de la part de la Lueur.

Vous pouvez contacter l'office de tourisme de Montbéliard qui vous proposera différentes formules adaptées à votre budget.  www.ot-pays-de-montbeliard.fr

Robert Sewen Crows nous a régalés avec « Les contes du Calumet Wabanaki » (Territoire du soleil). Conteur traditionnel, héritier d'une sagesse ancestrale, il est le messager de la vie des hommes des réserves.

De sa voix douce et pénétrante comme le vent et s'accompagnant du tambour tendu de peau de caribou, du bâton du conteur et de chants traditionnels, repris en choeur par le public, il a entraîné dans le monde magique des animaux, des plantes, des rivières et des montagnes, sur les traces de l'aigle du vent, de Lüsüm le premier chien, de l'Oiseau tonnerre, de « Belle jeune femme » et « Beau bonhomme » qui s’ accorderont sous un édredon en plumes de hibou, de la K’koum (grand-mère) qui sait accompagner les orages et est l’ âme indispensable à l’ équilibre de la vie . Monde magique dont est fait le quotidien des premières nations.